Au delà des risques d'illiquidité et de perte en capital inhérents à l'investissement non coté, l'investissement dans des opérations de capital risque présente des risques spécifiques directement liés à la nature des projets financés.
L'investissement étant intermédié par une holding adhoc, il convient de lister les risques juridico-économiques liés à votre souscription dans cette même holding :
Risques liés au défaut de la société cible
En cas de défaut de la société cible, et notamment en cas d’ouverture d’une procédure collective à son encontre, la holding serait dans l’impossibilité de céder les titres de la société cible qu’il détient ce qui entraînerait une perte potentielle totale ou partielle des fonds apportés par les investisseurs.
Risques liés à l'évolution réglementaire
Les conditions et règles applicables à tout investissement peuvent être modifiées en cas de changement de la réglementation ou d’évolution de la jurisprudence. Aucune garantie ne peut être apportée à ce titre notamment en matière fiscale. Une évolution de la fiscalité pourrait impliquer une réduction du retour sur investissement pour les investisseurs.
Risques liés à la variabilité du capital
Les holdings intermédiaires regroupant les investisseurs étant à capital variable, leur capital pourra être augmenté dans la limite de 2,5 M€ sans avoir à solliciter l’assemblée générale des associés (en savoir plus sur la loi encadrant le statut de CIP). Il existe donc pour les associés un risque de dilution.